Mercredi 18 juillet, nous avons annoncé avec le Préfet Pascal MAILHOS le lancement d’importants travaux qui permettront de ré-éclairer – enfin ! – les portions les plus accidentogènes du périphérique toulousain. Une question qui, si elle relève de la compétence de l’Etat et du concessionnaire autoroutier, nous préoccupait au même titre que nombre d’usagers de Toulouse et de son aire urbaine, lorsqu’ils devaient circuler de nuit sur cet axe structurant de notre Métropole.
Ainsi, ce ne sont pas moins de 8 millions d’euros qui vont être financés par l’Etat, avec l’appui technique des services de la Mairie et de la Métropole, afin de remettre en lumière les bifurcations, les nœuds autoroutiers ou les bretelles d’accès au périphérique. Cela permettra d’attirer l’attention des automobilistes dans ces zones où se concentrent le plus souvent incidents et accidents. Une vraie bonne nouvelle que j’appelais depuis longtemps de mes vœux, dont les travaux commenceront d’ici quelques mois.
Par ailleurs, un autre chantier – à près de 25 millions d’euros – devrait débuter en janvier prochain, à savoir l’élargissement du périphérique sud de Toulouse. Ainsi, nous supprimerons le fameux goulet d’étranglement de Rangueil, le dernier tronçon du périphérique resté en 2x2 voies. Nous limiterons ainsi du même coup les bouchons que nombre d’habitants rencontrent, lors de leurs déplacements domicile-travail, en empruntant cet axe. Ces travaux devraient s’achever à l’automne 2021.
A travers ces exemples, nous apportons la preuve que Toulouse et sa Métropole, avec les services de l’Etat, n’œuvrent pas seulement pour les transports en commun mais bel et bien aussi pour nos routes. Ce sera la raison d’être, d’ailleurs, du prochain Plan d’Aménagement Routier Métropolitain que nous vous présenterons à l’automne.
Jean-Luc MOUDENC
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